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L’institution muséale la plus visitée au Canada

Avec
  • 25 000mètres carrés d’aire d’exposition
  • 295places dans le CINÉ+
  • 20 000ans d'histoire humaine
  • 218 000artefacts de la collection accessibles en ligne

À propos de la Société

Le Musée canadien de l’histoire est une société d’État comme le stipule la Loi sur les musées qui l’a créée. La société régit trois musées : le Musée canadien de l’histoire, le Musée canadien de la guerre et le Musée virtuel de la Nouvelle-France. Le mandat général de la société consiste à « accroître la connaissance, la compréhension et le degré d’appréciation des Canadiens à l’égard d’événements, d’expériences, de personnes et d’objets qui incarnent l’histoire et l’identité canadiennes, qu’ils ont façonnées, ainsi que de les sensibiliser à l’histoire du monde et aux autres cultures.

 

Orientations stratégiques 2023-29

Nos orientations stratégiques pour la période de 2023-29

  • Favoriser une culture organisationnelle novatrice qui suscite le respect, l’équité et l’appartenance
  • Inciter les gens partout au Canada à découvrir divers récits et chapitres d’histoire
  • Contribuer activement à la réconciliation et renforcer notre engagement à reconnaitre les droits des peuples autochtones
  • Atteindre une plus grande résilience organisationnelle grâce à des pratiques durables
  • Tirer parti de la technologie pour stimuler l’innovation et accroitre l’accès aux activités du Musée

Ces cinq orientations nous aideront à mieux nous concentrer, à refaire le plein d’énergie et à bâtir l’organisation que nous voulons devenir.

En savoir plus sur le mandat, la vision et les valeurs du Musée et sur notre transformation culturelle.

 

Présidente-directrice générale

Caroline Dromaguet

Une femmeCaroline Dromaguet est la présidente-directrice générale du Musée canadien de l’histoire et du Musée canadien de la guerre. Professionnelle chevronnée du milieu muséal, elle possède plus de 20 ans d’expérience liée, entre autres, à la gestion de musées, à l’élaboration et à la prestation de produits culturels, ainsi qu’à des initiatives et des partenariats internationaux visant à positionner stratégiquement la riche et fascinante histoire du Canada sur la scène mondiale. Elle s’est engagée à favoriser la collaboration, la pensée innovatrice et le leadeurship au sein de la communauté muséale du Canada.

Depuis qu’elle a intégré les Musées, en 1998, Caroline a occupé un certain nombre de postes-clés dans divers secteurs des deux institutions, notamment à titre de gestionnaire des expositions et des initiatives stratégiques, de directrice des expositions, du développement créatif et de l’apprentissage, et de directrice générale par intérim du Musée canadien de la guerre. Caroline a été présidente-directrice générale par intérim des Musées pendant une période de deux ans avant sa confirmation dans ce poste en décembre 2022. Dans son rôle de PDG, elle met l’accent sur l’importance de l’innovation, des droits des Autochtones, de l’engagement et de la technologie, ainsi que sur le développement d’un environnement de travail sain, diversifié, inclusif et responsabilisant pour le personnel des Musées qu’elle supervise.

Le dévouement de Caroline envers l’industrie de la culture et du patrimoine est de longue date. Outre son travail avec les musées nationaux d’histoire du Canada, elle a précédemment travaillé au Musée des beaux-arts du Canada, en plus d’avoir contribué à des projets de l’Association des musées canadiens et du Musée virtuel du Canada. Caroline croit fermement que les musées et les institutions patrimoniales du Canada ont un rôle unique à jouer pour rapprocher les gens en s’assurant de communiquer les connaissances et les expériences, mais aussi en favorisant le dialogue. Elle est fière de contribuer à ce travail important.

Conseil d’administration

Le Conseil d’administration est responsable de la réalisation des objectifs et de la gestion des opérations, des activités et des affaires internes de la société. Cette responsabilité est exercée en conformité avec un ensemble de lois, notamment la Loi sur les musées et la Loi sur la gestion des finances publiques. D’une manière générale, le Conseil veille à l’élaboration et à la mise en œuvre des politiques touchant la direction de la société.

Conseil d’administration – Biographies

Présidente du conseil

  • Carole Beaulieu, Toronto, Ontario

Vice-Présidente

  • Narmin Ismail-Teja, Calgary, Alberta

Administrateurs

  • Jean Giguère, Winnipeg, Manitoba
  • Amanda Kingsley Malo, Sudbury, Ontario
  • Alex MacBeath, Murray Harbour, Île-du-Prince-Édouard
  • Nicolas Marcotte, Montréal, Québec
  • Rodney Nelson, Ottawa, Ontario
  • Jennifer Pereira, Saskatoon, Saskatchewan
  • Laurier Turgeon, Québec, Québec
  • Mahalia Verna, Westmount, Québec
  • William Young, Ottawa, Ontario

Profil du conseil d’administration – Musée canadien de l’histoire

Mandat

Constitué en société d’État en vertu de la Loi sur les musées, le Musée canadien de l’histoire (la société) est responsable de deux musées nationaux : le Musée canadien de l’histoire et le Musée canadien de la guerre. Ceux-ci s’acquittent ensemble de leur mandat, qui consiste à « accroître la connaissance, la compréhension et le degré d’appréciation des Canadiens à l’égard d’évènements, d’expériences, de personnes et d’objets qui incarnent l’histoire et l’identité canadiennes, qu’ils ont façonnées, ainsi que de les sensibiliser à l’histoire du monde et aux autres cultures ». De plus, la société administre un programme d’investissement national, Musées numériques Canada, et un musée en ligne, le Musée virtuel de la Nouvelle-France.

Le Musée de l’histoire est situé en bordure de la rivière des Outaouais à Gatineau, au Québec, de l’autre côté de la rive où s’élève la colline du Parlement, là où siège le gouvernement national du Canada, au cœur du territoire non cédé de la nation algonquine Anishinabeg. Il accueille en moyenne plus d’un million de personnes chaque année. Le Musée conserve une collection de près de quatre millions d’objets et d’artéfacts archéologiques, dont certains parmi les plus importants du Canada sur le plan culturel. Ses aires d’exposition incluent l’emblématique Grande Galerie, l’inspirante salle des Premiers Peuples et la grandiose salle de l’Histoire canadienne. Le Musée abrite aussi le Musée canadien des enfants, la Collection de timbres canadiens et le CINÉ+, doté d’écrans géants.

Le Musée de la guerre est le musée national d’histoire militaire du Canada. Il a pour mission de mieux faire comprendre au grand public l’histoire militaire du pays dans ses dimensions individuelles, nationales et internationales. Abritant une riche collection d’artéfacts, dont ceux de la Collection Beaverbrook d’art militaire de renommée mondiale, il attire chaque année plus d’un demi-million de personnes dans son impressionnant bâtiment, également situé sur le territoire non cédé de la nation algonquine Anishinabeg, sur les plaines LeBreton à Ottawa. Centre national de mémoire, d’éducation et de recherche historique, ce musée accueille aussi des discussions éclairées sur les affaires militaires passées, présentes et futures.

Le programme d’investissement Musées numériques Canada soutient la création de projets virtuels par des musées et des sociétés d’histoire canadiens en les aidant à renforcer leur capacité numérique et à faire découvrir leurs histoires et leurs expériences aux gens de partout. Le Musée virtuel de la Nouvelle-France est un projet en ligne mené en collaboration qui explore l’histoire, la culture et l’héritage vivant des premières colonies françaises en Amérique du Nord, en mettant l’accent sur les thèmes de l’activité économique, la population et les divers aspects de la vie quotidienne.

Rôles et responsabilités

Le conseil d’administration a pour mandat de veiller à la gestion de la société, à la fois dans l’intérêt fondamental de celle-ci et dans l’intérêt à long terme du gouvernement. Il assure une orientation stratégique et une surveillance générales avec l’aide de trois comités : le comité Audit et finances, le comité Gouvernance et ressources humaines et le comité du Musée canadien de la guerre. La gouvernance et la viabilité financière de la société lui incombent de façon générale, ce qui comprend :

  • établir l’orientation stratégique de la société;
  • fixer et suivre les objectifs et les mesures de rendement de la société;
  • veiller au rendement financier, et examiner et approuver les décisions financières importantes;
  • nommer le ou la PDG, avec l’approbation de la gouverneure ou du gouverneur en conseil;
  • établir des objectifs pour le ou la PDG et évaluer annuellement son rendement par rapport à ces objectifs;
  • planifier la relève à la présidence-direction générale;
  • surveiller la gestion des risques et des mécanismes de contrôle internes;
  • s’assurer que les relations avec les parties prenantes sont gérées de manière appropriée;
  • garantir un milieu de travail sain, respectueux et inclusif, exempt d’obstacles à l’emploi, de harcèlement et de discrimination;
  • préserver la réputation des Musées;
  • adopter un comportement éthique et respecter la conformité aux lois et aux règlements;
  • évaluer son propre rendement et son efficacité en tant que conseil d’administration;
  • planifier la relève parmi les administrateurs et administratrices;
  • exercer une gouvernance efficace;
  • maintenir l’indépendance du conseil d’administration par rapport à la direction;
  • favoriser l’orientation et le perfectionnement professionnel continu des membres du conseil;
  • assurer une bonne gestion de l’information et des communications en temps opportun.
Défis, enjeux et initiatives

À l’automne 2019, le conseil d’administration a établi les orientations stratégiques afin de guider les Musées au cours de la période quinquennale de 2020-2021 à 2024-2025 :

  • Encourager les Canadiens et les Canadiennes de partout au pays à mieux connaitre leur histoire commune;
  • Renforcer la position du Musée comme source crédible de recherches et de connaissances sur l’histoire canadienne;
  • Consolider nos relations avec les peuples autochtones, dans un esprit de respect, de collaboration et de responsabilité partagée des collections et du patrimoine immatériel autochtones;
  • Bâtir et faire découvrir une collection qui reflète bien l’histoire et le caractère distinctif du Canada;
  • Par une diplomatie active, poursuivre, aux échelles nationale et internationale, des projets mutuellement avantageux et propices à l’échange d’idées et de valeurs;
  • Assurer la pérennité, l’excellence en muséologie et le renforcement des capacités par le développement d’une culture organisationnelle qui donne des moyens d’action.

Dans l’esprit de ces orientations, la Société mène des recherches fondées sur des résultats, acquiert des objets d’importance nationale et présente des expositions sur des thèmes qui reflètent la diversité de l’histoire canadienne. Elle présente des offres éducatives et des programmes, sur place et en ligne, et elle veille à accroitre la présence des Musées partout au pays. Elle respecte son engagement à apporter les changements institutionnels nécessaires pour resserrer les liens entre les Musées et les peuples autochtones. Elle poursuit la sollicitation de partenariats, collaborant avec des communautés autochtones, multipliant les coopérations nationales et internationales, et développant des relations culturelles et muséologiques avec diverses organisations et communautés. Enfin, elle élabore des solutions novatrices et responsables pour générer des recettes, et elle modernise ses pratiques, systèmes et bâtiments pour rester à jour et concurrentielle.

À l’instar d’autres organisations dans le monde entier, la Société du Musée canadien de l’histoire a été durement touchée par la pandémie de COVID-19. Dans les années à venir, les Musées devront retrouver leurs publics et leurs revenus, et peut-être même réinventer l’expérience muséale du XXIe siècle. Le rétablissement de la COVID dépendra de facteurs qui échappent au contrôle des Musées, comme les conjonctures nationales et internationales et la vigueur des marchés du tourisme.

Par ailleurs, la Société entreprend un certain nombre d’initiatives pour offrir un environnement de travail équilibré, qui va de pair avec une culture organisationnelle saine. Les commentaires recueillis auprès des employés dans le cadre d’une évaluation du milieu de travail menée en 2020-2021 aideront la Société à se doter d’une stratégie comportant des mesures concrètes en vue de créer un environnement accueillant, positif et inclusif qui incite le personnel à s’investir.

Qualités et compétences fondamentales

Les administratrices et les administrateurs se sont entendus pour désigner les qualités et compétences suivantes comme étant fondamentales :

  • Sens du leadership
  • Engagement
  • Esprit d’initiative
  • Intégrité et responsabilité
  • Jugement sûr
  • Respect
  • Flexibilité
  • Influence positive
Compétences, expérience et connaissances particulières

Pour bien s’acquitter de leur rôle et de leurs responsabilités, les membres du conseil d’administration doivent combiner une vaste expérience avec un large éventail de connaissances. Les compétences, l’expérience et les connaissances suivantes.

Les éléments suivants servent de base à la grille de « compétences et expérience » utilisée pour évaluer l’expertise diversifiée des administrateurs et administratrices :

  • Planification stratégique et affaires de la société : Expérience dans la planification stratégique et intégrée au sein de conseils d’administration des secteurs public, privé et sans but lucratif, conjuguée à une capacité manifeste de centrer les efforts sur les objectifs à long terme et les résultats stratégiques.
  • Littératie financière et comptabilité : Compréhension des états financiers et des tableaux complémentaires qui présentent des éléments comptables d’une certaine ampleur et d’une complexité comparable à celle des questions pouvant être soulevées par la société.
  • Gouvernance : Expérience dans le domaine de la gouvernance organisationnelle dans le secteur public et dans la supervision des activités d’une organisation pour assurer le respect de son mandat.
  • Évaluation des risques : Expérience dans la définition des principaux risques organisationnels et dans la vérification des mécanismes mis en place par la direction pour bien les gérer, y compris les risques que poserait un traitement inapproprié du personnel.
  • Technologies de l’information : Expérience dans l’utilisation des environnements technologiques numériques, y compris la numérisation et l’enrichissement du contenu numérique, la cybertechnologie et l’infrastructure des TI.
  • Relations avec les administrations publiques : Expérience dans les relations gouvernementales stratégiques et intervention soutenue auprès d’au moins un palier de gouvernement, idéalement plusieurs.
  • Ressources humaines : Compréhension des questions et enjeux liés aux ressources humaines en vue du recrutement de cadres et en ce qui a trait aux structures de rémunération, aux examens du rendement et à un milieu de travail syndiqué.
  • Droit : Expérience dans le vaste domaine des affaires juridiques et règlementaires, y compris une capacité manifeste de cerner et d’analyser les questions, les opinions et les risques et de comprendre des ententes contractuelles complexes.
  • Activités de financement : Expérience des collectes de fonds à tous les échelons et auprès de divers donateurs et donatrices privés.
  • Communications : Expérience dans l’élaboration de stratégies de communication, y compris pour la gestion de crises et les relations publiques.
  • Conseils d’administration : Expérience au sein de conseils d’administration dans les secteurs public, privé ou sans but lucratif.

Les éléments suivants servent de base à la grille de « connaissances » utilisée pour évaluer l’expertise diversifiée des administrateurs et administratrices :

  • Histoire : Connaissance de l’histoire mondiale générale, de la préhistoire du Canada, de l’histoire coloniale, de l’histoire antérieure à la Confédération et de l’histoire contemporaine, ainsi que des théories et méthodes de recherche critique en histoire, y compris dans le domaine de l’histoire orale.
  • Anthropologie ou archéologie : Connaissance des approches théoriques et des méthodes de recherche en anthropologie et en archéologie, des collections ethnographiques et archéologiques, ainsi que des études sur la culture matérielle et sur le patrimoine culturel immatériel.
  • Histoire militaire : Connaissance de l’histoire militaire canadienne, des célébrations et des rituels militaires, de la conservation des collections, des programmes éducatifs et publics sur l’histoire militaire offerts dans les musées, des questions contemporaines concernant le monde militaire.
  • Relations avec les Autochtones : Connaissance des récits, des cultures et des enjeux contemporains des peuples autochtones du Canada et compréhension des relations entre les musées et les communautés autochtones, y compris l’incidence des appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation du Canada et de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.
  • Musées : Connaissance des pratiques et tendances professionnelles dans divers domaines, notamment ceux des collections, de la conservation, du patrimoine numérique, du tourisme, de la culture, de l’éducation et de la programmation, des études muséales, de la muséologie et de la gestion des musées.
  • Éducation et apprentissage : Expérience de l’enseignement, de la recherche, de la pédagogie ou expérience de travail dans le secteur de l’éducation, conjuguée à une connaissance des théories pédagogiques et des styles d’apprentissage ainsi que de leurs adaptations pour susciter l’intérêt de divers publics et groupes démographiques.
  • Leadership : Expérience de la direction d’une entreprise ou d’un organisme.
Représentation

La composition du conseil d’administration doit refléter la société canadienne en général ainsi que la clientèle desservie. Sachant à quel point la diversité et l’inclusion sont importantes, le conseil estime que l’attachement à ces valeurs doit se traduire par un ton affirmatif à l’échelle organisationnelle, y compris au sommet. Ses membres et la direction générale soutiennent donc activement la diversité et l’inclusion pour bien guider les Musées à cet égard. Les efforts de planification de la relève doivent concourir à l’atteinte d’un équilibre, notamment entre les genres, les langues parlées, les milieux d’origine et les régions géographiques.

Conditions de travail

Les administratrices et administrateurs sont nommés par le ou la ministre du Patrimoine canadien, avec l’approbation du gouverneur ou de la gouverneure en conseil, pour aux plus trois mandats d’une durée n’excédant pas quatre ans. Les personnes nommées à la présidence et à la vice-présidence ne peuvent se voir confier plus de deux mandats de quatre ans chacun. En plus de ces deux personnes à la présidence et à la vice-présidence, le conseil compte neuf membres.

Le conseil d’administration se réunit généralement en présentiel un minimum de 2 fois par année au Musée canadien de l’histoire, situé à Gatineau, au Québec et au Musée canadien la Guerre, situé à Ottawa, en Ontario. Les administrateurs et administratrices sont également appelés à se réunir virtuellement plusieurs fois au cours de l’année en fonction des besoins, des initiatives et des priorités du conseil. On appelle également les membres du conseil à siéger à un ou plusieurs comités, en plus de représenter les Musées lors de divers évènements, comme les inaugurations. En moyenne, l’investissement en temps est d’environ 21 jours par année pour les réunions et les téléconférences du conseil, y compris les séances préparatoires et la représentation aux évènements. Les réunions du conseil ont lieu dans les deux langues officielles selon la préférence de la personne prenant la parole. Les membres du conseil reçoivent des honoraires annuels qui leur sont versés tous les trois mois ainsi qu’une indemnité pour chaque jour où ils et elles assistent à une réunion. De plus, les frais de déplacement et d’hébergement leur sont remboursés.

La mission

Le Musée canadien de l’histoire est une société d’État constituée en vertu de la Loi sur les musées (Statuts du Canada 1990, chapitre 3). La société respecte les lois fédérales et provinciales et y est assujettie. Elle est un employeur distinct, et la majorité de ses employés est représentée par deux syndicats : l’Alliance de la fonction publique du Canada et l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada. Les onze membres à temps partiel du conseil d’administration sont nommés par le gouverneur en conseil et représentent différentes régions du Canada. À son tour, le conseil d’administration nomme le président-directeur général de la société, qui en dirige toutes les activités à plein temps.

Les principales responsabilités de la société sont de gérer le Musée canadien de l’histoire, le Musée canadien de la guerre et le Musée virtuel de la Nouvelle-France). Le Musée canadien de l’histoire est reconnu comme l’un des grands établissements culturels du XXe siècle et abrite le Musée canadien des enfants et un CINÉ+. Ses collections regroupent près de 4 millions d’artefacts associés à l’histoire, à l’archéologie, à la culture traditionnelle, à l’ethnologie, à la communication postale et à divers autres domaines de l’étude du patrimoine. Alors qu’à ses débuts, en 1880, le Musée canadien de la guerre fondait ses activités sur une collection de souvenirs rapportés des champs de bataille par la milice canadienne, il est aujourd’hui devenu le musée national consacré à l’histoire militaire du Canada. La réouverture du Musée canadien de la guerre dans un nouvel édifice sur les plaines LeBreton a eu lieu le 8 mai 2005.

Par ses activités, la société pratique l’excellence muséologique et, ce faisant, suscite une plus grande compréhension de l’identité, de l’histoire et de la culture canadiennes. Outre sa présence dans la région de la capitale nationale, la société diffuse son fonds de connaissances dans l’ensemble du Canada, ainsi que dans le monde entier en ayant surtout recours à des programmes de diffusion externe par des moyens électroniques.

La société fait partie du ministère du Patrimoine canadien et se rapporte au Parlement par l’entremise du ministre du Patrimoine canadien. De concert avec les autres membres de ce portefeuille, la société préserve le patrimoine canadien et le présente aux générations actuelles et futures. Par ses activités, la société joue un rôle déterminant en favorisant un sentiment d’identité canadienne. À l’aide de ses programmes publics et de recherche, la société atteint un vaste public toujours plus nombreux.

Pour plus de renseignements, veuillez consulter : les Rapports de la société

Assemblée publique annuelle virtuelle et en personne

Merci à toutes les personnes qui ont été des nôtres le 21 février dernier, à l’occasion de l’Assemblée publique annuelle 2022-2023.

Lorsqu’elle sera confirmée, la date de la réunion 2023-2024 sera communiquée ici, en espérant que vous pourrez y prendre part le moment venu.

La vidéo ci-dessous met en lumière des ouvertures d’expositions, des évènements et des acquisitions du Musée canadien de l’histoire et du Musée canadien de la guerre en 2022-2023.

Faits saillants de 2022-2023

Faites affaire avec nous – aperçu

Pour consulter les publications en format PDF, vous avez besoin du logiciel gratuit Adobe Acrobat Reader
(instructions en anglais seulement).

Conditions générales du Musée canadien de l’histoire

Conditions générales relatives aux services (fichier PDF, 935 Ko)

Formulaire de demande de transfert électronique de fonds (TEF) pour les fournisseurs (fichier PDF, 90 Ko)

Bon de commande — Biens

Conditions générales relatives à la Lettre d’accord (LA) – Services (fichier PDF, 989 Ko)

Conditions générales relatives aux Biens (fichier PDF, 1 Mo)

Protocoles obligatoires minimum dans le contexte de la COVID-19 (fichier PDF, 519 Ko)

Faites affaire avec nous

La section des contrats de la Musée canadien de l’histoire et du Musée canadien de la guerre est responsable de la gestion du processus d’approvisionnement de la société. En plus d’émettre des bons de commande, de conclure des ententes, de superviser le processus d’appel d’offres (AO), de mettre en place des listes de fournisseurs, de négocier et d’adjuger des contrats, la Section a le mandat de veiller à ce que les approvisionnements sont conforme aux politiques et aux procédures d’approvisionnement gouvernementales et institutionnelles pertinentes. Si vous fournissez des biens et services et voulez faire affaire avec le Musée canadien de l’histoire ou le Musée canadien de la guerre, les sections suivantes renferment des renseignements relatifs aux procédures, aux pratiques et aux politiques d’achat.

Pratiques d’achat

La société a pour politique d’octroyer des contrats de biens et de services de manière à obtenir, dans l’ensemble, le meilleur rapport qualité-prix. Elle fait affaire avec les fournisseurs qui remplissent les objectifs de la société, c’est-à-dire l’acquisition de produits et de services au moment opportun, le respect des spécifications et des prix concurrentiels.

Par principe, la société négocie et octroie les contrats en tenant compte des lois, des règlements, des accords commerciaux, des politiques internes, et des processus d’appel d’offres concurrentiels. La société fait valoir ses standards élevés en matière de professionnalisme et de son éthique commerciale envers la communauté externe.

À titre de société d’État, le processus d’approvisionnement au Musée canadien de l’histoire et au Musée canadien de la guerre est réalisé en conformité avec les exigences des accords commerciaux tels que l’Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM), l’Accord de libre-échange canadien (ALEC) et tout autre accord commercial applicable. Les approvisionnements qui sont assujettis aux accords commerciaux sont publiés via le système d’appel d’offres en ligne de MERX et les documents d’appel d’offres doivent être commandés par le biais de MERX (www.merx.com/?language=FR).

Sélection des fournisseurs

Les achats de produits et de services non assujettis aux accords commerciaux tels que l’ALEC, l’ACEUM, ou tout autre accord commercial, peuvent également être publiés sur Merx en tant qu’appel d’offres ouvert. Néanmoins, les achats qui ne sont pas assujettis aux accords commerciaux sont typiquement mené sous un processus d’appel d’offres fermé où les fournisseurs sont invités à déposer un devis ou une soumission basée sur leur expérience passée avec la société, à partir de répertoires industriels, l’Internet, en consultant des sources de renseignements de l’industrie ou d’associations, y compris catalogues et périodiques, ou à la suite des foires commerciales et conférences.

La société a élaboré certains critères d’admissibilité pour les fournisseurs :

  • dossiers financiers vérifiables;
  • capacité éprouvée à satisfaire aux obligations contractuelles;
  • garantie que vous êtes en mesure de fournir tous les produits ou services de façon continue;
  • assurance de pouvoir répondre à nos exigences selon des plans de qualité vérifiables et mis en application;
  • bonne réputation et expérience dans le domaine de compétence du fournisseur.

Si vous rencontrez ces critères d’admissibilité, vous pourriez être en mesure de présenter une soumission ou être invité à soumettre pour les travaux de la société.

Dépouillement des soumissions

La société ne dépouille pas publiquement les soumissions ni ne révèle à quiconque les renseignements qu’elles contiennent, sauf si elle est tenue de le faire en vertu de la loi. La société croit fermement que le dépouillement public de soumissions nuirait à ses possibilités de faire des affaires dans un climat d’équité et de saine concurrence.

Résultats d’appel d’offres
Les résultats d’appel d’offres pour les processus d’AO ouvert publiés sur Merx peuvent être obtenu sur le site internet de Merx au www.merx.com/?language=FR.

Limitations

A l‘exception des lettres d’ententes, qui sont limitées à l’approvisionnement de petit service avec une faible valeur monétaire, tous les bons de commande et contrats pour le Musée canadien de l`histoire et le Musée canadien de la guerre sont émis par la section des contrats de la société.

Les utilisateurs finaux ne sont pas autorisés à conclure des ententes avec les fournisseurs. Les fournisseurs ne doivent fournir aucun produit ou service avant qu’un contrat ne soit signé ou qu’un bon de commande soit émis. Aucuns travaux qui vont au-delà de ce qui est stipulé dans le contrat existant, sauf si autorisée par la section des contrats, ne doivent être exécutés.

Conclusion

La société apprécie la relation privilégiée qu’elle entretient avec ses fournisseurs et accueille favorablement les initiatives des fournisseurs qui contribuent à une productivité accrue et à une bonne gestion des achats. La société est toujours disposée à discuter des développements, de l’amélioration du rendement ou de la réduction des coûts si ceux-ci contribuent à atteindre l’objectif de services fiables et rentables au public canadien.

Rapports de la société

Pour consulter les publications en format PDF, vous avez besoin du logiciel gratuit Adobe Acrobat Reader (instructions en anglais seulement).


États financiers trimestriels


Rapports annuels


Résumé du plan d’entreprise


Rapport d’examen spécial — Bureau du vérificateur général

Pour nous envoyer un courriel ou voir d’autres façons de nous contacter :

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