Italo-Canadienne de la deuxième génération, Connie fréquenta ainsi deux mondes : celui des Monteleonais et la société canadienne dans son ensemble. En compagnie de ses parents, elle fréquentait l’église Notre-Dame-du-Mont-Carmel et participait à des activités organisées par la paroisse. Lorsque sa famille et d’autres Monteleonais se réunissaient à l’occasion d’un anniversaire, de jours fériés et de fêtes religieuses, elle était présente. De plus, elle alla à l’école avec des enfants non italiens et se fit des amis d’origines diverses. Elle parlait mieux l’anglais que l’italien.