L'élevage
La vie dans les ranchs

Jack Alex et Gabriel Paul, vers 1921. Jack est plus tard devenu le chef de la bande de Penticton.
Photo de Lumb Stocks, O'Keefe Ranch and Interior Heritage Society F20-15

Il n'est tout simplement pas possible d'être éleveur à temps plein dans le centre de l'Alberta avec un troupeau de moins de 60 à 100 têtes. Compte tenu du prix du fourrage, des grains, des services des vétérinaires, du pâturage, et du temps qu'il faut pour nourrir le bétail, il n'est pas possible d'arriver avec dix à quinze têtes de bétail. Les gens qui ont de petits troupeaux peuvent tuer quelques bœufs pour leur propre consommation, mais ils les gardent surtout parce que pour nous, les Cris, c'est agréable de les avoir autour de nous. C'est bon pour l'âme, vous savez. C'est sain d'en avoir autour de soi.

Garry Louis, Néhiya, réserve Montana, Hobbema (Alberta), 1997

Jesse Primeau (à droite), qui est Métis, est administrateur pour une bande néhiya du centre de la Saskatchewan. Lorsqu'il ne participe pas à des rodéos, il aide son père, Albert, au ranch gouvernemental qu'il gère à Mayfair (Saskatchewan). Ward Anderson est à gauche.
Photo de Morgan Baillargeon, 1996, MCC K96-1167

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