Foulard écologique – Bee-Lieve
24,99$
Soyez comme les abeilles qui ont un incroyable sens de l’orientation. Croyez en votre valeur personelle et en vos possibilités! Œuvre « Birch Biting » de Pat Bruderer, artiste Cree.
- Matériel : Bouteilles en plastique 100% recyclées (polyester)
- Texture : Ultra-doux et luxueux
- Grandeur : 180 cm x 70 cm
Pat Bruderer (Halfmoon Woman) est originaire de Churchill, Manitoba et a passé la majeure partie de sa vie dans le nord de la province. Elle réside maintenant dans la région de Kootenay, en Colombie-Britannique. Membre de la nation Peter Ballantyne Cree, en Saskatchewan, Pat est une artiste autodidacte qui pratique le mordillement de l’écorce de bouleau depuis plus de vingt ans. Le mordillement de l’écorce de bouleau consiste à mordre une très fine couche d’écorce de bouleau pour créer une magnifique image avec les dents de l’artiste. Cette technique était pratiquée par la plupart des Premières Nations de l’île de la Tortue (Canada). Traditionnellement, elle servait à consigner des histoires et à servir de modèle pour les travaux de piquants de porc-épic, de perlage et de broderie. Ces techniques étaient également créées pour des concours visant à déterminer qui créerait les plus beaux motifs. Pat passe par treize étapes pour réaliser une œuvre. Elle utilise les éléments de la terre, de l’eau, du vent et du feu dans chacune de ses œuvres.
Sa passion pour le partage et l’enseignement l’a amenée à enseigner cette tradition à des centaines d’élèves, notamment à Yellowknife, Winnipeg, Thompson et Vernon. Comme mordre l’écorce de bouleau contribue au développement du raisonnement spatial, parmi de nombreux autres enseignements traditionnels, c’est une leçon importante pour les enfants dans le cadre d’un exercice de mathématiques, d’histoire ou culturel. Les œuvres de Pat sont exposées dans des musées et de nombreuses collections privées, et elle a exposé ses œuvres partout au Canada et à l’étranger, notamment aux États-Unis, en Suisse, en France et en Italie.
« Je suis mère, folle pour beaucoup, et mes relations continuent de prospérer. Grâce à la résilience culturelle, je riposte. »