Emigrante brava gente
Lasciando tutto quello che ci è caro
All’estero andiamo a lavorar
E per migliorar la nostra sorte
Quante cose dobbiam sopportar
Facciam coraggio, diciamo niente
Noi emigranti siamo brava gente
Che vita amara che ci tocca far
Lontano dalla patria dobbiam star
E quando il treno fischia per partire
Guardiamo gli stranieri arrivare
Hanno sui volti la felicità
Perché l’Italia vengono a trovar
E noi che siamo figli de ‘sta terra
Guardiamo ancora un po’ l’azzurro mare
Ma il treno corre senza aver pietà
Dell’emigrante che lontano va
La la la la...
E quando siamo all’estero ci assale
La nostalgia in cuore già sentiamo
La frenesia di voler tornare
Dai nostri cari al nostro casolar
Facciam corraggio, diciamo niente
Noi emigranti siamo brava gente
Hanno sui volti la felicità
Perché l’Italia vengono a trovare
E noi che siamo figli de ‘sta terra
Guardiamo ancora un po’ l’azzurro mare
Ma il treno corre senza aver’ pietà
Dell’emigrante che lontano va.
La la la la
Les Émigrants sont de braves gens
Laissant derrière nous tout ce qui nous est cher
Nous partons travailler à l’étranger
Et pour améliorer notre sort
Nous devons endurer tant de choses
Nous sommes courageux, nous ne disons rien
Nous, les émigrants, nous sommes de braves gens
Quelle vie amère nous devons vivre
Le destin nous veut loin de notre patrie
Et quand le sifflement du train annonce le départ
Nous regardons les étrangers arriver
Ils ont l’air heureux
Parce qu’ils viennent voir l’Italie
Et nous, qui sonnes les enfants de cette terre,
Nous contemplons la mer bleue encore un peu
Mais le train roule à toute vitesse, sans pitié
Pour l’émigrant qui s’en va loin
La la la la…
Et à l’étranger nous sommes assaillis
Par le mal du pays qui pèse déjà sur nos cœurs
Le désir effréné de retourner
Chez nous, auprès de ceux qui nous sont chers
Nous sommes courageux, nous ne disons rien
Nous, les émigrants, nous sommes de braves gens
Ils ont l’air heureux
Parce qu’ils viennent voir l’Italie
Et nous, qui sonnes les enfants de cette terre,
Nous contemplons la mer bleue encore un peu
Mais le train roule à toute vitesse, sans pitié
Pour l’émigrant qui s’en va loin
La la la la