Rockhead’s Paradise
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À quoi pouvait ressembler la vie nocturne au Rockhead’s Paradise?
Qui aurait pu ou n’aurait pas pu y participer? Pourquoi pensez-vous qu’il en était ainsi, d’après ce que vous avez appris sur la société de l’époque?
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Prenez des notes pendant que vous écoutez. Rédigez ensuite un paragraphe informatif sur la vie de Rockhead.
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Comment le Rockhead’s Paradise a-t-il pu aider la communauté noire de Montréal à ressentir un sentiment d’appartenance, compte tenu du racisme qu’elle subissait dans la société?
Précisions
- Papier
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Le Rockhead’s Paradise était un club de jazz situé dans le quartier de Saint-Antoine, à Montréal. Il a contribué à définir le quartier comme le « Harlem du Nord ».
- Le Rockhead’s Paradise était tenu et géré par Rufus Rockhead, né en Jamaïque et ayant immigré à Halifax.
- Après avoir servi dans l’armée, Rockhead s’est installé à Montréal, en 1919, et a travaillé comme porteur ferroviaire avant d’ouvrir le Rockhead’s Paradise, en 1928.Jusqu’en 1950, le Rockhead’s Paradise a prospéré et a accueilli des artistes de renom. Rockhead a vendu le club en 1980 lorsque la musique jazz est devenue moins populaire et que le quartier s’est détérioré.
- Parcourez le carrousel pour découvrir d’autres objets liés au Rockhead’s Paradise y compris un extrait vidéo de l’épisode 8 Claiming Space de la série documentaire Black Life: Untold Stories.
Le Rockhead’s Paradise était un club de jazz situé dans le quartier de Saint-Antoine, à Montréal. Avec d’autres clubs voisins, il a contribué à définir le quartier du divertissement noir à Montréal comme le « Harlem du Nord ».
Le Rockhead’s Paradise appartenait à Rufus Rockhead, qui en assurait la gestion. Rockhead était né en Jamaïque et avait immigré à Halifax. Il s’était installé à Montréal et, en 1918, s’était engagé dans l’armée canadienne, où il a été récompensé pour son service.
En 1919, Rockhead est revenu à Montréal, a ouvert une entreprise de cirage de chaussures et est devenu porteur pour le chemin de fer du Canadien Pacifique. En 1927, il a fondé une famille.
Bien que les politiques racistes limitaient les biens que les personnes noires pouvaient acheter à l’époque, Rockhead a ouvert le Rockhead’s Paradise en 1928. Entre 1930 et 1950, le Rockhead’s Paradise a prospéré et a accueilli des artistes de renom comme Billie Holiday, Oliver Jones et Oscar Peterson.
Dans les années 1960, le club a fermé temporairement lorsque la musique jazz est devenue moins populaire et que le quartier s’est détérioré. Rockhead a vendu le Rockhead’s Paradise en 1980.
Parcourez le carrousel pour découvrir d’autres objets liés au Rockhead’s Paradise y compris un extrait vidéo de l’épisode 8 Claiming Space de la série documentaire Black Life: Untold Stories.
Le Rockhead’s Paradise était un club de jazz emblématique situé dans le quartier de Saint-Antoine, à Montréal. Il était bordé par des établissements notables, tels que le Café St-Michel et le Terminal Club. Ces établissements ont contribué à définir le quartier du divertissement noir à Montréal comme le « Harlem du Nord ».
Le Rockhead’s Paradise était tenu et géré par Rufus Rockhead. Rockhead était né en Jamaïque et avait immigré à Halifax à l’âge de 22 ans. Il s’était installé à Montréal et, en 1918, s’était engagé dans l’armée canadienne, où il a été récompensé pour son service.
En 1919, Rockhead est revenu à Montréal. Il a ouvert une entreprise de cirage de soulier et est devenu porteur pour le Chemin de fer du Canadien Pacifique. Il s’est marié en 1927, a eu des enfants et a poursuivi son désir d’ouvrir un club de jazz.
Bien que les politiques racistes limitaient les biens que les personnes noires pouvaient acheter à l’époque, Rockhead a ouvert le Rockhead’s Paradise en 1928 dans la communauté noire historique de Saint-Antoine. Entre 1930 et 1950, le Rockhead’s Paradise a prospéré, accueillant des artistes de renom comme Billie Holiday, Oliver Jones, Nina Simone et Oscar Peterson.
Dans les années 1960, le club a fermé temporairement lorsque la musique jazz est devenue moins populaire et que le quartier s’est détérioré. Rockhead a fini par vendre le club en 1980. En 2012, le pianiste Billy Georgette a organisé le Rockhead’s Last Jam à la Maison du Jazz de Montréal pour honorer l’héritage de Rockhead.
Parcourez le carrousel pour découvrir d’autres objets liés au Rockhead’s Paradise y compris un extrait vidéo de l’épisode 8 Claiming Space de la série documentaire Black Life: Untold Stories.
- Le Rockhead’s Paradise était un club de jazz situé dans le quartier de Saint-Antoine, à Montréal. Il a contribué à définir le quartier comme le « Harlem du Nord ».
- Le Rockhead’s Paradise était tenu et géré par Rufus Rockhead, né en Jamaïque et ayant immigré à Halifax.
- Après avoir servi dans l’armée, Rockhead s’est installé à Montréal, en 1919, et a travaillé comme porteur ferroviaire avant d’ouvrir le Rockhead’s Paradise, en 1928.Jusqu’en 1950, le Rockhead’s Paradise a prospéré et a accueilli des artistes de renom. Rockhead a vendu le club en 1980 lorsque la musique jazz est devenue moins populaire et que le quartier s’est détérioré.
- Parcourez le carrousel pour découvrir d’autres objets liés au Rockhead’s Paradise y compris un extrait vidéo de l’épisode 8 Claiming Space de la série documentaire Black Life: Untold Stories.
Le Rockhead’s Paradise était un club de jazz situé dans le quartier de Saint-Antoine, à Montréal. Avec d’autres clubs voisins, il a contribué à définir le quartier du divertissement noir à Montréal comme le « Harlem du Nord ».
Le Rockhead’s Paradise appartenait à Rufus Rockhead, qui en assurait la gestion. Rockhead était né en Jamaïque et avait immigré à Halifax. Il s’était installé à Montréal et, en 1918, s’était engagé dans l’armée canadienne, où il a été récompensé pour son service.
En 1919, Rockhead est revenu à Montréal, a ouvert une entreprise de cirage de chaussures et est devenu porteur pour le chemin de fer du Canadien Pacifique. En 1927, il a fondé une famille.
Bien que les politiques racistes limitaient les biens que les personnes noires pouvaient acheter à l’époque, Rockhead a ouvert le Rockhead’s Paradise en 1928. Entre 1930 et 1950, le Rockhead’s Paradise a prospéré et a accueilli des artistes de renom comme Billie Holiday, Oliver Jones et Oscar Peterson.
Dans les années 1960, le club a fermé temporairement lorsque la musique jazz est devenue moins populaire et que le quartier s’est détérioré. Rockhead a vendu le Rockhead’s Paradise en 1980.
Parcourez le carrousel pour découvrir d’autres objets liés au Rockhead’s Paradise y compris un extrait vidéo de l’épisode 8 Claiming Space de la série documentaire Black Life: Untold Stories.
Le Rockhead’s Paradise était un club de jazz emblématique situé dans le quartier de Saint-Antoine, à Montréal. Il était bordé par des établissements notables, tels que le Café St-Michel et le Terminal Club. Ces établissements ont contribué à définir le quartier du divertissement noir à Montréal comme le « Harlem du Nord ».
Le Rockhead’s Paradise était tenu et géré par Rufus Rockhead. Rockhead était né en Jamaïque et avait immigré à Halifax à l’âge de 22 ans. Il s’était installé à Montréal et, en 1918, s’était engagé dans l’armée canadienne, où il a été récompensé pour son service.
En 1919, Rockhead est revenu à Montréal. Il a ouvert une entreprise de cirage de soulier et est devenu porteur pour le Chemin de fer du Canadien Pacifique. Il s’est marié en 1927, a eu des enfants et a poursuivi son désir d’ouvrir un club de jazz.
Bien que les politiques racistes limitaient les biens que les personnes noires pouvaient acheter à l’époque, Rockhead a ouvert le Rockhead’s Paradise en 1928 dans la communauté noire historique de Saint-Antoine. Entre 1930 et 1950, le Rockhead’s Paradise a prospéré, accueillant des artistes de renom comme Billie Holiday, Oliver Jones, Nina Simone et Oscar Peterson.
Dans les années 1960, le club a fermé temporairement lorsque la musique jazz est devenue moins populaire et que le quartier s’est détérioré. Rockhead a fini par vendre le club en 1980. En 2012, le pianiste Billy Georgette a organisé le Rockhead’s Last Jam à la Maison du Jazz de Montréal pour honorer l’héritage de Rockhead.
Parcourez le carrousel pour découvrir d’autres objets liés au Rockhead’s Paradise y compris un extrait vidéo de l’épisode 8 Claiming Space de la série documentaire Black Life: Untold Stories.
Sommaire
- Le Rockhead’s Paradise était un club de jazz situé dans le quartier de Saint-Antoine, à Montréal. Il a contribué à définir le quartier comme le « Harlem du Nord ».
- Le Rockhead’s Paradise était tenu et géré par Rufus Rockhead, né en Jamaïque et ayant immigré à Halifax.
- Après avoir servi dans l’armée, Rockhead s’est installé à Montréal, en 1919, et a travaillé comme porteur ferroviaire avant d’ouvrir le Rockhead’s Paradise, en 1928.Jusqu’en 1950, le Rockhead’s Paradise a prospéré et a accueilli des artistes de renom. Rockhead a vendu le club en 1980 lorsque la musique jazz est devenue moins populaire et que le quartier s’est détérioré.
- Parcourez le carrousel pour découvrir d’autres objets liés au Rockhead’s Paradise y compris un extrait vidéo de l’épisode 8 Claiming Space de la série documentaire Black Life: Untold Stories.
Éléments essentiels
Le Rockhead’s Paradise était un club de jazz situé dans le quartier de Saint-Antoine, à Montréal. Avec d’autres clubs voisins, il a contribué à définir le quartier du divertissement noir à Montréal comme le « Harlem du Nord ».
Le Rockhead’s Paradise appartenait à Rufus Rockhead, qui en assurait la gestion. Rockhead était né en Jamaïque et avait immigré à Halifax. Il s’était installé à Montréal et, en 1918, s’était engagé dans l’armée canadienne, où il a été récompensé pour son service.
En 1919, Rockhead est revenu à Montréal, a ouvert une entreprise de cirage de chaussures et est devenu porteur pour le chemin de fer du Canadien Pacifique. En 1927, il a fondé une famille.
Bien que les politiques racistes limitaient les biens que les personnes noires pouvaient acheter à l’époque, Rockhead a ouvert le Rockhead’s Paradise en 1928. Entre 1930 et 1950, le Rockhead’s Paradise a prospéré et a accueilli des artistes de renom comme Billie Holiday, Oliver Jones et Oscar Peterson.
Dans les années 1960, le club a fermé temporairement lorsque la musique jazz est devenue moins populaire et que le quartier s’est détérioré. Rockhead a vendu le Rockhead’s Paradise en 1980.
Parcourez le carrousel pour découvrir d’autres objets liés au Rockhead’s Paradise y compris un extrait vidéo de l’épisode 8 Claiming Space de la série documentaire Black Life: Untold Stories.
Description exhaustive
Le Rockhead’s Paradise était un club de jazz emblématique situé dans le quartier de Saint-Antoine, à Montréal. Il était bordé par des établissements notables, tels que le Café St-Michel et le Terminal Club. Ces établissements ont contribué à définir le quartier du divertissement noir à Montréal comme le « Harlem du Nord ».
Le Rockhead’s Paradise était tenu et géré par Rufus Rockhead. Rockhead était né en Jamaïque et avait immigré à Halifax à l’âge de 22 ans. Il s’était installé à Montréal et, en 1918, s’était engagé dans l’armée canadienne, où il a été récompensé pour son service.
En 1919, Rockhead est revenu à Montréal. Il a ouvert une entreprise de cirage de soulier et est devenu porteur pour le Chemin de fer du Canadien Pacifique. Il s’est marié en 1927, a eu des enfants et a poursuivi son désir d’ouvrir un club de jazz.
Bien que les politiques racistes limitaient les biens que les personnes noires pouvaient acheter à l’époque, Rockhead a ouvert le Rockhead’s Paradise en 1928 dans la communauté noire historique de Saint-Antoine. Entre 1930 et 1950, le Rockhead’s Paradise a prospéré, accueillant des artistes de renom comme Billie Holiday, Oliver Jones, Nina Simone et Oscar Peterson.
Dans les années 1960, le club a fermé temporairement lorsque la musique jazz est devenue moins populaire et que le quartier s’est détérioré. Rockhead a fini par vendre le club en 1980. En 2012, le pianiste Billy Georgette a organisé le Rockhead’s Last Jam à la Maison du Jazz de Montréal pour honorer l’héritage de Rockhead.
Parcourez le carrousel pour découvrir d’autres objets liés au Rockhead’s Paradise y compris un extrait vidéo de l’épisode 8 Claiming Space de la série documentaire Black Life: Untold Stories.