Moule à sucre d’érable
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Précisions
- Bois
Contexte historique
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- Ce moule à sucre d’érable a été sculpté dans du bois. On versait du sucre d’érable chaud dans le moule, puis le sucre durcissait en refroidissant, prenant ainsi la forme de cœurs.
- Le moule est une pièce d’art populaire québécois. Le motif du cœur était très populaire, mais ces moules existent sous plusieurs formes et thèmes, inspirés par la nature, la religion ou la vie quotidienne.
- Les érables à sucre sont entaillés au printemps afin d’en recueillir la sève qui commence à couler au fur et à mesure que les journées se réchauffent.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une peinture de personnes fabriquant du sucre d’érable, un exemple de récipient en écorce de bouleau utilisé pour recueillir la sève et un chalumeau en métal de la collection du Musée.
Ce moule à sucre d’érable a été sculpté dans du bois. On versait du sucre d’érable chaud dans le moule, puis le sucre durcissait en refroidissant, prenant ainsi la forme de cœurs.
Cet ustensile décoratif est également une pièce intéressante d’art populaire québécois. Le motif sculpté est personnalisé et permettait souvent d’identifier la personne qui avait confectionné les cœurs en sucre d’érable. Le motif du cœur était très populaire, mais ces moules existent sous plusieurs formes et thèmes, inspirés par la nature, la religion ou la vie quotidienne. Ils reflétaient la créativité des personnes qui les sculptaient.
Les érables à sucre sont entaillés au printemps afin d’en recueillir la sève qui commence à couler au fur et à mesure que les journées se réchauffent. Les peuples autochtones des forêts orientales entaillaient les érables bien avant que les Européens n’arrivent. Les Européens ont appris cette technique auprès des peuples autochtones.
Ce moule à sucre d’érable a été sculpté dans du bois. On versait du sucre d’érable chaud dans le moule, puis le sucre durcissait en refroidissant, prenant ainsi la forme de cœurs. Le moule est composé de deux pièces de bois maintenues ensemble par des chevilles. On y retrouve deux séries de trois cœurs qui pointent tous vers le centre. Chaque cœur est gravé d’un motif différent.
Cet ustensile décoratif est également une pièce intéressante d’art populaire québécois. Le motif sculpté est personnalisé et permettait souvent d’identifier la personne qui avait confectionné les cœurs en sucre d’érable. Le motif du cœur était très populaire, mais ces moules existent sous plusieurs formes et thèmes, inspirés par la nature, la religion ou la vie quotidienne. Ils reflétaient la créativité des personnes qui les sculptaient.
Les érables à sucre sont entaillés au printemps afin d’en recueillir la sève qui commence à couler au fur et à mesure que les journées se réchauffent. Les peuples autochtones des forêts orientales entaillaient les érables bien avant que les Européens n’arrivent. Ils fabriquaient des chalumeaux (becs) à partir de soutien de sureau ou de sumac évidées qu’ils enfonçaient dans les arbres. Lorsque la sève commençait à s’égoutter, elle était recueillie dans des paniers en écorce de bouleau, puis chauffée.
Les Européens ont appris cette technique auprès des peuples autochtones, puis ont créé leurs propres traditions, consistant à collecter la sève pour ensuite la faire bouillir et la transformer en sirop et en sucre.
- Ce moule à sucre d’érable a été sculpté dans du bois. On versait du sucre d’érable chaud dans le moule, puis le sucre durcissait en refroidissant, prenant ainsi la forme de cœurs.
- Le moule est une pièce d’art populaire québécois. Le motif du cœur était très populaire, mais ces moules existent sous plusieurs formes et thèmes, inspirés par la nature, la religion ou la vie quotidienne.
- Les érables à sucre sont entaillés au printemps afin d’en recueillir la sève qui commence à couler au fur et à mesure que les journées se réchauffent.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une peinture de personnes fabriquant du sucre d’érable, un exemple de récipient en écorce de bouleau utilisé pour recueillir la sève et un chalumeau en métal de la collection du Musée.
Ce moule à sucre d’érable a été sculpté dans du bois. On versait du sucre d’érable chaud dans le moule, puis le sucre durcissait en refroidissant, prenant ainsi la forme de cœurs.
Cet ustensile décoratif est également une pièce intéressante d’art populaire québécois. Le motif sculpté est personnalisé et permettait souvent d’identifier la personne qui avait confectionné les cœurs en sucre d’érable. Le motif du cœur était très populaire, mais ces moules existent sous plusieurs formes et thèmes, inspirés par la nature, la religion ou la vie quotidienne. Ils reflétaient la créativité des personnes qui les sculptaient.
Les érables à sucre sont entaillés au printemps afin d’en recueillir la sève qui commence à couler au fur et à mesure que les journées se réchauffent. Les peuples autochtones des forêts orientales entaillaient les érables bien avant que les Européens n’arrivent. Les Européens ont appris cette technique auprès des peuples autochtones.
Ce moule à sucre d’érable a été sculpté dans du bois. On versait du sucre d’érable chaud dans le moule, puis le sucre durcissait en refroidissant, prenant ainsi la forme de cœurs. Le moule est composé de deux pièces de bois maintenues ensemble par des chevilles. On y retrouve deux séries de trois cœurs qui pointent tous vers le centre. Chaque cœur est gravé d’un motif différent.
Cet ustensile décoratif est également une pièce intéressante d’art populaire québécois. Le motif sculpté est personnalisé et permettait souvent d’identifier la personne qui avait confectionné les cœurs en sucre d’érable. Le motif du cœur était très populaire, mais ces moules existent sous plusieurs formes et thèmes, inspirés par la nature, la religion ou la vie quotidienne. Ils reflétaient la créativité des personnes qui les sculptaient.
Les érables à sucre sont entaillés au printemps afin d’en recueillir la sève qui commence à couler au fur et à mesure que les journées se réchauffent. Les peuples autochtones des forêts orientales entaillaient les érables bien avant que les Européens n’arrivent. Ils fabriquaient des chalumeaux (becs) à partir de soutien de sureau ou de sumac évidées qu’ils enfonçaient dans les arbres. Lorsque la sève commençait à s’égoutter, elle était recueillie dans des paniers en écorce de bouleau, puis chauffée.
Les Européens ont appris cette technique auprès des peuples autochtones, puis ont créé leurs propres traditions, consistant à collecter la sève pour ensuite la faire bouillir et la transformer en sirop et en sucre.
Sommaire
- Ce moule à sucre d’érable a été sculpté dans du bois. On versait du sucre d’érable chaud dans le moule, puis le sucre durcissait en refroidissant, prenant ainsi la forme de cœurs.
- Le moule est une pièce d’art populaire québécois. Le motif du cœur était très populaire, mais ces moules existent sous plusieurs formes et thèmes, inspirés par la nature, la religion ou la vie quotidienne.
- Les érables à sucre sont entaillés au printemps afin d’en recueillir la sève qui commence à couler au fur et à mesure que les journées se réchauffent.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une peinture de personnes fabriquant du sucre d’érable, un exemple de récipient en écorce de bouleau utilisé pour recueillir la sève et un chalumeau en métal de la collection du Musée.
Éléments essentiels
Ce moule à sucre d’érable a été sculpté dans du bois. On versait du sucre d’érable chaud dans le moule, puis le sucre durcissait en refroidissant, prenant ainsi la forme de cœurs.
Cet ustensile décoratif est également une pièce intéressante d’art populaire québécois. Le motif sculpté est personnalisé et permettait souvent d’identifier la personne qui avait confectionné les cœurs en sucre d’érable. Le motif du cœur était très populaire, mais ces moules existent sous plusieurs formes et thèmes, inspirés par la nature, la religion ou la vie quotidienne. Ils reflétaient la créativité des personnes qui les sculptaient.
Les érables à sucre sont entaillés au printemps afin d’en recueillir la sève qui commence à couler au fur et à mesure que les journées se réchauffent. Les peuples autochtones des forêts orientales entaillaient les érables bien avant que les Européens n’arrivent. Les Européens ont appris cette technique auprès des peuples autochtones.
Description exhaustive
Ce moule à sucre d’érable a été sculpté dans du bois. On versait du sucre d’érable chaud dans le moule, puis le sucre durcissait en refroidissant, prenant ainsi la forme de cœurs. Le moule est composé de deux pièces de bois maintenues ensemble par des chevilles. On y retrouve deux séries de trois cœurs qui pointent tous vers le centre. Chaque cœur est gravé d’un motif différent.
Cet ustensile décoratif est également une pièce intéressante d’art populaire québécois. Le motif sculpté est personnalisé et permettait souvent d’identifier la personne qui avait confectionné les cœurs en sucre d’érable. Le motif du cœur était très populaire, mais ces moules existent sous plusieurs formes et thèmes, inspirés par la nature, la religion ou la vie quotidienne. Ils reflétaient la créativité des personnes qui les sculptaient.
Les érables à sucre sont entaillés au printemps afin d’en recueillir la sève qui commence à couler au fur et à mesure que les journées se réchauffent. Les peuples autochtones des forêts orientales entaillaient les érables bien avant que les Européens n’arrivent. Ils fabriquaient des chalumeaux (becs) à partir de soutien de sureau ou de sumac évidées qu’ils enfonçaient dans les arbres. Lorsque la sève commençait à s’égoutter, elle était recueillie dans des paniers en écorce de bouleau, puis chauffée.
Les Européens ont appris cette technique auprès des peuples autochtones, puis ont créé leurs propres traditions, consistant à collecter la sève pour ensuite la faire bouillir et la transformer en sirop et en sucre.