Chandail de hockey
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Regardez attentivement cet objet. De quelle époque pensez-vous qu’il provient ? Quels indices l’objet vous donne-t-il ? Vérifiez vos réponses en lisant le contexte historique ci-dessous.
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En quoi le sport féminin a-t-il évolué au Canada depuis les années 1930 ? Étayez votre réponse à l’aide des preuves fournies dans le contexte historique ci-dessous.
Précisions
- Laine
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Ce chandail de hockey a été porté par Hilda Ranscombe, joueuse vedette des Rivulettes de Preston, pendant sa saison de hockey 1937-1938.
- Ce chandail était controversé, car il comportait le nom du commanditaire de l’équipe, l’hôtel Preston Springs, ce qui était interdit dans la ligue amateur.
- Dans les années 1930, des milliers d’adeptes ont acheté des billets pour voir les Rivulettes et d’autres équipes féminines jouer au hockey.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photo de Hilda Ranscombe portant un chandail de Preston, ainsi qu’une paire de patins portée par une joueuse des Rivulettes de Preston.
Ce chandail de hockey a été porté par Hilda Ranscombe, joueuse vedette des Rivulettes de Preston, pendant sa saison de hockey 1937-1938.
En 1938, on a interdit aux joueuses des Rivulettes de Preston de porter leurs chandails lors du championnat national féminin, car les chandails faisaient référence au nom du commanditaire de l’équipe, l’hôtel Preston Springs. La Dominion Women’s Amateur Hockey Association (Association nationale de hockey amateur féminin) interdisait les commandites ou toute rémunération versées aux athlètes, craignant que cela ne compromette l’intégrité de ces dernières. Il s’agissait cependant de la période de la Grande Dépression et les membres de l’équipe, pour la plupart des ouvrières d’usine, avaient grandement besoin de soutien.
Dans les années 1930, des milliers d’adeptes ont acheté des billets pour voir les Rivulettes et d’autres équipes féminines jouer au hockey. Les ligues de hockey féminin ont connu leur apogée dans les années 1930, puis ont pratiquement disparu pendant la Seconde Guerre mondiale. Des équipes ont été formées au cours des années 1940 et 1950, mais il y avait peu de tournois et aucune nouvelle ligue féminine n’a été créée avant les années 1970. Depuis 1990, le nombre d’inscriptions au hockey féminin (chez les jeunes filles et les femmes) a cependant connu une hausse fulgurante.
Ce chandail de hockey a été porté par Hilda Ranscombe, joueuse vedette des Rivulettes de Preston, pendant sa saison de hockey 1937-1938.
En 1938, on a interdit aux joueuses des Rivulettes de Preston de porter leurs chandails lors du championnat national féminin, car les chandails faisaient référence au nom du commanditaire de l’équipe, l’hôtel Preston Springs. Les Rivulettes avaient ajouté le mot « Springs » à leurs chandails en échange de fonds destinés à l’achat de nouvel équipement. Le problème? La Dominion Women’s Amateur Hockey Association (Association nationale de hockey amateur féminin) interdisait les commandites ou toute rémunération versées aux athlètes, craignant que cela ne compromette l’intégrité de ces dernières. Il s’agissait cependant de la période de la Grande Dépression et les membres de l’équipe, pour la plupart des ouvrières d’usine, avaient grandement besoin de soutien. Finalement, les joueuses des Rivulettes ont porté leurs chandails.
« Springs » pendant la saison régulière, puis ont emprunté d’autres chandails pour participer au tournoi du championnat. En 1938, malgré la controverse, elles ont remporté le trophée Lady Bessborough décerné annuellement aux championnes nationales de hockey féminin.
Dans les années 1930, des milliers d’adeptes ont acheté des billets pour voir les Rivulettes et d’autres équipes féminines jouer au hockey. Les journaux locaux et nationaux ont couvert les matchs féminins, les victoires ont été célébrées publiquement et les joueuses sont devenues des célébrités locales.
Les ligues de hockey féminin ont connu leur apogée dans les années 1930, puis ont pratiquement disparu pendant la Seconde Guerre mondiale. Des équipes ont été formées au cours des années 1940 et 1950, mais il y avait peu de tournois et aucune nouvelle ligue féminine n’a été créée avant les années 1970. Depuis 1990, le nombre d’inscriptions au hockey féminin (chez les jeunes filles et les femmes) a cependant décuplé.
- Ce chandail de hockey a été porté par Hilda Ranscombe, joueuse vedette des Rivulettes de Preston, pendant sa saison de hockey 1937-1938.
- Ce chandail était controversé, car il comportait le nom du commanditaire de l’équipe, l’hôtel Preston Springs, ce qui était interdit dans la ligue amateur.
- Dans les années 1930, des milliers d’adeptes ont acheté des billets pour voir les Rivulettes et d’autres équipes féminines jouer au hockey.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photo de Hilda Ranscombe portant un chandail de Preston, ainsi qu’une paire de patins portée par une joueuse des Rivulettes de Preston.
Ce chandail de hockey a été porté par Hilda Ranscombe, joueuse vedette des Rivulettes de Preston, pendant sa saison de hockey 1937-1938.
En 1938, on a interdit aux joueuses des Rivulettes de Preston de porter leurs chandails lors du championnat national féminin, car les chandails faisaient référence au nom du commanditaire de l’équipe, l’hôtel Preston Springs. La Dominion Women’s Amateur Hockey Association (Association nationale de hockey amateur féminin) interdisait les commandites ou toute rémunération versées aux athlètes, craignant que cela ne compromette l’intégrité de ces dernières. Il s’agissait cependant de la période de la Grande Dépression et les membres de l’équipe, pour la plupart des ouvrières d’usine, avaient grandement besoin de soutien.
Dans les années 1930, des milliers d’adeptes ont acheté des billets pour voir les Rivulettes et d’autres équipes féminines jouer au hockey. Les ligues de hockey féminin ont connu leur apogée dans les années 1930, puis ont pratiquement disparu pendant la Seconde Guerre mondiale. Des équipes ont été formées au cours des années 1940 et 1950, mais il y avait peu de tournois et aucune nouvelle ligue féminine n’a été créée avant les années 1970. Depuis 1990, le nombre d’inscriptions au hockey féminin (chez les jeunes filles et les femmes) a cependant connu une hausse fulgurante.
Ce chandail de hockey a été porté par Hilda Ranscombe, joueuse vedette des Rivulettes de Preston, pendant sa saison de hockey 1937-1938.
En 1938, on a interdit aux joueuses des Rivulettes de Preston de porter leurs chandails lors du championnat national féminin, car les chandails faisaient référence au nom du commanditaire de l’équipe, l’hôtel Preston Springs. Les Rivulettes avaient ajouté le mot « Springs » à leurs chandails en échange de fonds destinés à l’achat de nouvel équipement. Le problème? La Dominion Women’s Amateur Hockey Association (Association nationale de hockey amateur féminin) interdisait les commandites ou toute rémunération versées aux athlètes, craignant que cela ne compromette l’intégrité de ces dernières. Il s’agissait cependant de la période de la Grande Dépression et les membres de l’équipe, pour la plupart des ouvrières d’usine, avaient grandement besoin de soutien. Finalement, les joueuses des Rivulettes ont porté leurs chandails.
« Springs » pendant la saison régulière, puis ont emprunté d’autres chandails pour participer au tournoi du championnat. En 1938, malgré la controverse, elles ont remporté le trophée Lady Bessborough décerné annuellement aux championnes nationales de hockey féminin.
Dans les années 1930, des milliers d’adeptes ont acheté des billets pour voir les Rivulettes et d’autres équipes féminines jouer au hockey. Les journaux locaux et nationaux ont couvert les matchs féminins, les victoires ont été célébrées publiquement et les joueuses sont devenues des célébrités locales.
Les ligues de hockey féminin ont connu leur apogée dans les années 1930, puis ont pratiquement disparu pendant la Seconde Guerre mondiale. Des équipes ont été formées au cours des années 1940 et 1950, mais il y avait peu de tournois et aucune nouvelle ligue féminine n’a été créée avant les années 1970. Depuis 1990, le nombre d’inscriptions au hockey féminin (chez les jeunes filles et les femmes) a cependant décuplé.
Sommaire
- Ce chandail de hockey a été porté par Hilda Ranscombe, joueuse vedette des Rivulettes de Preston, pendant sa saison de hockey 1937-1938.
- Ce chandail était controversé, car il comportait le nom du commanditaire de l’équipe, l’hôtel Preston Springs, ce qui était interdit dans la ligue amateur.
- Dans les années 1930, des milliers d’adeptes ont acheté des billets pour voir les Rivulettes et d’autres équipes féminines jouer au hockey.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photo de Hilda Ranscombe portant un chandail de Preston, ainsi qu’une paire de patins portée par une joueuse des Rivulettes de Preston.
Éléments essentiels
Ce chandail de hockey a été porté par Hilda Ranscombe, joueuse vedette des Rivulettes de Preston, pendant sa saison de hockey 1937-1938.
En 1938, on a interdit aux joueuses des Rivulettes de Preston de porter leurs chandails lors du championnat national féminin, car les chandails faisaient référence au nom du commanditaire de l’équipe, l’hôtel Preston Springs. La Dominion Women’s Amateur Hockey Association (Association nationale de hockey amateur féminin) interdisait les commandites ou toute rémunération versées aux athlètes, craignant que cela ne compromette l’intégrité de ces dernières. Il s’agissait cependant de la période de la Grande Dépression et les membres de l’équipe, pour la plupart des ouvrières d’usine, avaient grandement besoin de soutien.
Dans les années 1930, des milliers d’adeptes ont acheté des billets pour voir les Rivulettes et d’autres équipes féminines jouer au hockey. Les ligues de hockey féminin ont connu leur apogée dans les années 1930, puis ont pratiquement disparu pendant la Seconde Guerre mondiale. Des équipes ont été formées au cours des années 1940 et 1950, mais il y avait peu de tournois et aucune nouvelle ligue féminine n’a été créée avant les années 1970. Depuis 1990, le nombre d’inscriptions au hockey féminin (chez les jeunes filles et les femmes) a cependant connu une hausse fulgurante.
Description exhaustive
Ce chandail de hockey a été porté par Hilda Ranscombe, joueuse vedette des Rivulettes de Preston, pendant sa saison de hockey 1937-1938.
En 1938, on a interdit aux joueuses des Rivulettes de Preston de porter leurs chandails lors du championnat national féminin, car les chandails faisaient référence au nom du commanditaire de l’équipe, l’hôtel Preston Springs. Les Rivulettes avaient ajouté le mot « Springs » à leurs chandails en échange de fonds destinés à l’achat de nouvel équipement. Le problème? La Dominion Women’s Amateur Hockey Association (Association nationale de hockey amateur féminin) interdisait les commandites ou toute rémunération versées aux athlètes, craignant que cela ne compromette l’intégrité de ces dernières. Il s’agissait cependant de la période de la Grande Dépression et les membres de l’équipe, pour la plupart des ouvrières d’usine, avaient grandement besoin de soutien. Finalement, les joueuses des Rivulettes ont porté leurs chandails.
« Springs » pendant la saison régulière, puis ont emprunté d’autres chandails pour participer au tournoi du championnat. En 1938, malgré la controverse, elles ont remporté le trophée Lady Bessborough décerné annuellement aux championnes nationales de hockey féminin.
Dans les années 1930, des milliers d’adeptes ont acheté des billets pour voir les Rivulettes et d’autres équipes féminines jouer au hockey. Les journaux locaux et nationaux ont couvert les matchs féminins, les victoires ont été célébrées publiquement et les joueuses sont devenues des célébrités locales.
Les ligues de hockey féminin ont connu leur apogée dans les années 1930, puis ont pratiquement disparu pendant la Seconde Guerre mondiale. Des équipes ont été formées au cours des années 1940 et 1950, mais il y avait peu de tournois et aucune nouvelle ligue féminine n’a été créée avant les années 1970. Depuis 1990, le nombre d’inscriptions au hockey féminin (chez les jeunes filles et les femmes) a cependant décuplé.