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Boite à histoires

Étiquette de bagage des Jeux olympiques

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Regardez attentivement cet objet. Que croyez-vous qu’il représente ? Vérifiez votre réponse en lisant le contexte historique ci-dessous.


PENSER

Perdita Felicien attribue son succès à sa mère. Adoptez le point de vue historique de Perdita. Qu’est-ce qui, selon vous, l’a inspirée dans l’expérience de sa mère ?


Précisions

Date 2000
Origine de l’objet Inconnu
Matériaux
  • Papier
  • Plastique
Source / No de référence 1. Musée canadien de l’histoire, 2021.37.1 a-b 3-7. Gracieuseté de Perdita Felicien

Contexte historique

Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.

  • Cette étiquette de bagage appartenait à la coureuse de haies canadienne Perdita Felicien. Elle l’a utilisée pour se rendre aux Jeux olympiques d’été de 2000 à Sydney, en Australie, et en revenir.
  • Deux fois olympienne, Perdita Felicien a représenté le Canada au 100 mètres haies aux Jeux de Sydney (2000) et d’Athènes (2004).
  • Elle attribue son succès à sa mère, Catherine Felicien Browne. Catherine a immigré de Sainte-Lucie au Canada dans les années 1970 pour travailler comme nounou à domicile pour une famille blanche. L’histoire de Catherine, qui a travaillé de longues heures, souvent pour des personnes qui la maltraitaient, est malheureusement commune pour les travailleurs et travailleuses domestiques originaires des Caraïbes.
  • Perdita Felicien a été témoin de la persévérance et de la détermination de sa mère. Ces traits de caractère l’ont poussée à réussir pour sa mère; elle pense que les leçons que Catherine lui a enseignées l’ont aidée à devenir une championne.

Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photo de Catherine Felicien dans les années 1980, de Perdita Felicien à Sainte-Lucie en 1981, de Perdita menant une course de haies en 2003, d’elle en compagnie de sa mère, Catherine Felicien Browne, lors de la célébration par la ville de Pickering de la victoire de Perdita en tant que championne du monde, un dessin d’enfant de Perdita.

  • Cette étiquette de bagage appartenait à la coureuse de haies canadienne Perdita Felicien. Elle l’a utilisée pour se rendre aux Jeux olympiques d’été de 2000 à Sydney, en Australie, et en revenir.
  • Deux fois olympienne, Perdita Felicien a représenté le Canada au 100 mètres haies aux Jeux de Sydney (2000) et d’Athènes (2004).
  • Elle attribue son succès à sa mère, Catherine Felicien Browne. Catherine a immigré de Sainte-Lucie au Canada dans les années 1970 pour travailler comme nounou à domicile pour une famille blanche. L’histoire de Catherine, qui a travaillé de longues heures, souvent pour des personnes qui la maltraitaient, est malheureusement commune pour les travailleurs et travailleuses domestiques originaires des Caraïbes.
  • Perdita Felicien a été témoin de la persévérance et de la détermination de sa mère. Ces traits de caractère l’ont poussée à réussir pour sa mère; elle pense que les leçons que Catherine lui a enseignées l’ont aidée à devenir une championne.

Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photo de Catherine Felicien dans les années 1980, de Perdita Felicien à Sainte-Lucie en 1981, de Perdita menant une course de haies en 2003, d’elle en compagnie de sa mère, Catherine Felicien Browne, lors de la célébration par la ville de Pickering de la victoire de Perdita en tant que championne du monde, un dessin d’enfant de Perdita.

Sommaire

  • Cette étiquette de bagage appartenait à la coureuse de haies canadienne Perdita Felicien. Elle l’a utilisée pour se rendre aux Jeux olympiques d’été de 2000 à Sydney, en Australie, et en revenir.
  • Deux fois olympienne, Perdita Felicien a représenté le Canada au 100 mètres haies aux Jeux de Sydney (2000) et d’Athènes (2004).
  • Elle attribue son succès à sa mère, Catherine Felicien Browne. Catherine a immigré de Sainte-Lucie au Canada dans les années 1970 pour travailler comme nounou à domicile pour une famille blanche. L’histoire de Catherine, qui a travaillé de longues heures, souvent pour des personnes qui la maltraitaient, est malheureusement commune pour les travailleurs et travailleuses domestiques originaires des Caraïbes.
  • Perdita Felicien a été témoin de la persévérance et de la détermination de sa mère. Ces traits de caractère l’ont poussée à réussir pour sa mère; elle pense que les leçons que Catherine lui a enseignées l’ont aidée à devenir une championne.

Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photo de Catherine Felicien dans les années 1980, de Perdita Felicien à Sainte-Lucie en 1981, de Perdita menant une course de haies en 2003, d’elle en compagnie de sa mère, Catherine Felicien Browne, lors de la célébration par la ville de Pickering de la victoire de Perdita en tant que championne du monde, un dessin d’enfant de Perdita.


Éléments essentiels

Cette étiquette de bagage appartenait à la coureuse de haies canadienne Perdita Felicien. Elle l’a utilisée pour se rendre aux Jeux olympiques d’été de 2000 à Sydney, en Australie, et en revenir.

Deux fois olympienne, Perdita Felicien a représenté le Canada au 100 mètres haies aux Jeux de Sydney (2000) et d’Athènes (2004). Elle a acquis une reconnaissance nationale et internationale lorsqu’elle a remporté l’or aux Championnats du monde de l’IAAF de 2003, devenant ainsi la première et la seule athlète féminine canadienne à remporter une médaille d’or à cet évènement. Aujourd’hui, elle est animatrice de télévision, présentatrice sportive et conférencière.

Elle attribue son succès à sa mère, Catherine Felicien Browne. Catherine a immigré de Sainte-Lucie au Canada dans les années 1970 pour travailler comme nounou à domicile pour une famille blanche. L’histoire de Catherine, qui a travaillé de longues heures, souvent pour des personnes qui la maltraitaient, est malheureusement commune pour les travailleurs domestiques originaires des Caraïbes.

Avec les années, Perdita Felicien a été témoin de la persistance et de la détermination de sa mère à préserver l’unité de leur famille. Ces traits de caractère l’ont poussée à réussir pour sa mère; elle pense que les leçons que Catherine lui a enseignées l’ont aidée à devenir une championne.

 


Description exhaustive

Cette étiquette de bagage appartenait à la coureuse de haies canadienne Perdita Felicien. Elle l’a utilisée pour se rendre aux Jeux olympiques d’été de 2000 à Sydney, en Australie, et en revenir. Chaque athlète olympique du Canada a reçu sa propre étiquette de la part de ses commanditaires.

Née à Pickering, en Ontario, Perdita Felicien est une Canadienne de première génération; sa mère a immigré de Sainte-Lucie au Canada dans les années 1970. Deux fois olympienne, Perdita Felicien a représenté le Canada au 100 mètres haies aux Jeux de Sydney (2000) et d’Athènes (2004). Elle a acquis une reconnaissance nationale et internationale lorsqu’elle est devenue dix fois championne nationale du 100 mètres haies et lorsqu’elle a remporté l’or aux Championnats du monde de l’IAAF de 2003, devenant ainsi la première et la seule athlète féminine canadienne à remporter une médaille d’or à cet évènement. À Eugene, en Oregon, en juin 2004, elle a établi le record canadien du 100 mètres haies, qu’elle a terminé en 12,46 secondes. Favorite pour remporter l’or dans cette épreuve aux Jeux olympiques d’Athènes en 2004, elle a été disqualifiée après une collision avec sa deuxième haie qui l’a fait tomber dans le couloir d’une autre coureuse. Bien que cette course soit la plus décevante de sa carrière, Perdita n’a jamais évité d’en parler. Elle pense qu’il est important de parler des hauts et des bas de la vie d’athlète. Aujourd’hui, elle est animatrice de télévision, présentatrice sportive et conférencière.

Elle attribue son succès à sa mère. Dans ses mémoires intitulées La fille de ma mère, publiées en 2021, elle décrit comment Catherine Felicien Browne est venue au Canada pour travailler comme nounou à domicile pour une famille blanche. L’histoire de Catherine, qui a travaillé de longues heures, souvent pour des personnes qui la maltraitaient, est malheureusement commune pour les travailleurs et travailleuses domestiques originaires des Caraïbes. Le premier programme canadien d’employées de maison recrutait des femmes célibataires sans enfants et ne constituait pas une voie d’immigration. Or, Catherine avait l’intention de devenir citoyenne. Après presque une décennie au cours de laquelle elle a épousé un Canadien et eu deux enfants, elle a finalement obtenu la citoyenneté. Au cours de ces années, Perdita Felicien a été témoin de la persistance et de la détermination de sa mère à préserver l’unité de leur famille. Ces traits de caractère l’ont poussée à réussir pour sa mère; elle pense que les leçons que Catherine lui a enseignées l’ont aidée à devenir une championne.


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