Touffetage en poils d’orignal/de caribou
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Regardez les différents exemples de touffetages de poils d’orignal dans le carrousel médiatique ci-dessus. Quelles sont leurs similitudes et leurs différences ?
PENSER
Regardez l’entrevue avec Carmen Miller, l’artiste qui a créé des œuvres d’art pour la Boite à histoires. Elle y explique le processus du touffetage et son importance culturelle. Quelles questions poseriez-vous à Carmen, si vous le pouviez ?
Précisions
- Peau d’orignal
- Poils d’orignal
- Fourrure de castor
- Perles de verre
- Coton
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou a commencé au début du 20esiècle dans le nord-ouest de ce qui est aujourd’hui le Canada.
- Des mèches de poils d’orignal ou de caribou sont appliquées sur un support pour créer une image tridimensionnelle.
- Ici, la touffe de poils d’orignal a été utilisée pour créer les feuilles vertes et les fleurs rouges qui décorent une paire de mocassins.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photographie des œuvres d’art trouvées dans la Boite à histoires, une entrevue avec Carmen Miller, l’artiste qui les a réalisées, et quelques exemples des collections conservées au Musée canadien de l’histoire.
Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou a commencé au début du 20e siècle dans le nord-ouest de ce qui est aujourd’hui le Canada. Cette forme d’art, dans laquelle des mèches de poils d’orignal ou de caribou sont appliquées sur un support pour créer une image tridimensionnelle, s’appuie sur la pratique artistique durable de la torsion du poil d’animal.
Entre décembre et mars, la fourrure d’hiver est récoltée en longueurs de 15 à 20 centimètres prélevées sur l’épaule et la croupe de l’orignal. Retirés, triés par taille et lavés à la main, ces poils blancs sont teints.
Après le séchage des poils, un point de boucle est réalisé autour de 15 à 20 poils de même longueur, à environ un demi-centimètre de l’extrémité, puis serré contre un support. On obtient ainsi une forme de pompon qui est ensuite façonnée avec des ciseaux pour créer une touffe.
Ici, la touffe de poils d’orignal a été utilisée pour créer les feuilles vertes et les fleurs rouges qui décorent une paire de mocassins.
Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou a commencé au début du 20e siècle dans le nord-ouest de ce qui est aujourd’hui le Canada. Cette forme d’art, dans laquelle des mèches de poils d’orignal ou de caribou sont appliquées sur un support pour créer une image tridimensionnelle, s’appuie sur la pratique artistique durable de la torsion du poil d’animal.
Entre décembre et mars, la fourrure d’hiver est récoltée en longueurs de 15 à 20 centimètres prélevées sur l’épaule et la croupe de l’orignal. Retirés, triés par taille et lavés à la main, ces poils blancs sont teints à l’aide de racines, de lichen, de fleurs, d’écorces, de baies et, de plus en plus, de colorants commerciaux.
Après le séchage des poils, un point de boucle est réalisé autour de 15 à 20 poils de même longueur, à environ un demi-centimètre de l’extrémité, puis serré contre un support. En utilisant une peau tannée, du velours ou un autre support de son choix, on obtient une forme de pompon qui est ensuite façonnée avec des ciseaux pour créer une touffe. Une fois que toutes les touffes ont été sculptées dans la forme souhaitée, des broderies ou des perles sont parfois ajoutées au motif. Les touffes de poils d’orignal ou de caribou se trouvaient autrefois presque exclusivement sur les vêtements et les accessoires, mais elles sont aujourd’hui devenues populaires sous forme d’art encadré.
Ici, la touffe de poils d’orignal a été utilisée pour créer les feuilles vertes et les fleurs rouges qui décorent une paire de mocassins. Juste en dessous de la garniture en fourrure de castor, l’empeigne (le dessus du mocassin) a été soulignée de perles de verre rouges. Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou est une forme d’art qui requiert un ensemble unique de compétences : chaque fleur peut prendre entre six et huit heures à réaliser.
Le touffetage de poils d’orignal de cette trousse a été réalisé par Carmen Miller, une artiste métisse qui vit en Alberta.
- Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou a commencé au début du 20esiècle dans le nord-ouest de ce qui est aujourd’hui le Canada.
- Des mèches de poils d’orignal ou de caribou sont appliquées sur un support pour créer une image tridimensionnelle.
- Ici, la touffe de poils d’orignal a été utilisée pour créer les feuilles vertes et les fleurs rouges qui décorent une paire de mocassins.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photographie des œuvres d’art trouvées dans la Boite à histoires, une entrevue avec Carmen Miller, l’artiste qui les a réalisées, et quelques exemples des collections conservées au Musée canadien de l’histoire.
Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou a commencé au début du 20e siècle dans le nord-ouest de ce qui est aujourd’hui le Canada. Cette forme d’art, dans laquelle des mèches de poils d’orignal ou de caribou sont appliquées sur un support pour créer une image tridimensionnelle, s’appuie sur la pratique artistique durable de la torsion du poil d’animal.
Entre décembre et mars, la fourrure d’hiver est récoltée en longueurs de 15 à 20 centimètres prélevées sur l’épaule et la croupe de l’orignal. Retirés, triés par taille et lavés à la main, ces poils blancs sont teints.
Après le séchage des poils, un point de boucle est réalisé autour de 15 à 20 poils de même longueur, à environ un demi-centimètre de l’extrémité, puis serré contre un support. On obtient ainsi une forme de pompon qui est ensuite façonnée avec des ciseaux pour créer une touffe.
Ici, la touffe de poils d’orignal a été utilisée pour créer les feuilles vertes et les fleurs rouges qui décorent une paire de mocassins.
Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou a commencé au début du 20e siècle dans le nord-ouest de ce qui est aujourd’hui le Canada. Cette forme d’art, dans laquelle des mèches de poils d’orignal ou de caribou sont appliquées sur un support pour créer une image tridimensionnelle, s’appuie sur la pratique artistique durable de la torsion du poil d’animal.
Entre décembre et mars, la fourrure d’hiver est récoltée en longueurs de 15 à 20 centimètres prélevées sur l’épaule et la croupe de l’orignal. Retirés, triés par taille et lavés à la main, ces poils blancs sont teints à l’aide de racines, de lichen, de fleurs, d’écorces, de baies et, de plus en plus, de colorants commerciaux.
Après le séchage des poils, un point de boucle est réalisé autour de 15 à 20 poils de même longueur, à environ un demi-centimètre de l’extrémité, puis serré contre un support. En utilisant une peau tannée, du velours ou un autre support de son choix, on obtient une forme de pompon qui est ensuite façonnée avec des ciseaux pour créer une touffe. Une fois que toutes les touffes ont été sculptées dans la forme souhaitée, des broderies ou des perles sont parfois ajoutées au motif. Les touffes de poils d’orignal ou de caribou se trouvaient autrefois presque exclusivement sur les vêtements et les accessoires, mais elles sont aujourd’hui devenues populaires sous forme d’art encadré.
Ici, la touffe de poils d’orignal a été utilisée pour créer les feuilles vertes et les fleurs rouges qui décorent une paire de mocassins. Juste en dessous de la garniture en fourrure de castor, l’empeigne (le dessus du mocassin) a été soulignée de perles de verre rouges. Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou est une forme d’art qui requiert un ensemble unique de compétences : chaque fleur peut prendre entre six et huit heures à réaliser.
Le touffetage de poils d’orignal de cette trousse a été réalisé par Carmen Miller, une artiste métisse qui vit en Alberta.
Sommaire
- Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou a commencé au début du 20esiècle dans le nord-ouest de ce qui est aujourd’hui le Canada.
- Des mèches de poils d’orignal ou de caribou sont appliquées sur un support pour créer une image tridimensionnelle.
- Ici, la touffe de poils d’orignal a été utilisée pour créer les feuilles vertes et les fleurs rouges qui décorent une paire de mocassins.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photographie des œuvres d’art trouvées dans la Boite à histoires, une entrevue avec Carmen Miller, l’artiste qui les a réalisées, et quelques exemples des collections conservées au Musée canadien de l’histoire.
Éléments essentiels
Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou a commencé au début du 20e siècle dans le nord-ouest de ce qui est aujourd’hui le Canada. Cette forme d’art, dans laquelle des mèches de poils d’orignal ou de caribou sont appliquées sur un support pour créer une image tridimensionnelle, s’appuie sur la pratique artistique durable de la torsion du poil d’animal.
Entre décembre et mars, la fourrure d’hiver est récoltée en longueurs de 15 à 20 centimètres prélevées sur l’épaule et la croupe de l’orignal. Retirés, triés par taille et lavés à la main, ces poils blancs sont teints.
Après le séchage des poils, un point de boucle est réalisé autour de 15 à 20 poils de même longueur, à environ un demi-centimètre de l’extrémité, puis serré contre un support. On obtient ainsi une forme de pompon qui est ensuite façonnée avec des ciseaux pour créer une touffe.
Ici, la touffe de poils d’orignal a été utilisée pour créer les feuilles vertes et les fleurs rouges qui décorent une paire de mocassins.
Description exhaustive
Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou a commencé au début du 20e siècle dans le nord-ouest de ce qui est aujourd’hui le Canada. Cette forme d’art, dans laquelle des mèches de poils d’orignal ou de caribou sont appliquées sur un support pour créer une image tridimensionnelle, s’appuie sur la pratique artistique durable de la torsion du poil d’animal.
Entre décembre et mars, la fourrure d’hiver est récoltée en longueurs de 15 à 20 centimètres prélevées sur l’épaule et la croupe de l’orignal. Retirés, triés par taille et lavés à la main, ces poils blancs sont teints à l’aide de racines, de lichen, de fleurs, d’écorces, de baies et, de plus en plus, de colorants commerciaux.
Après le séchage des poils, un point de boucle est réalisé autour de 15 à 20 poils de même longueur, à environ un demi-centimètre de l’extrémité, puis serré contre un support. En utilisant une peau tannée, du velours ou un autre support de son choix, on obtient une forme de pompon qui est ensuite façonnée avec des ciseaux pour créer une touffe. Une fois que toutes les touffes ont été sculptées dans la forme souhaitée, des broderies ou des perles sont parfois ajoutées au motif. Les touffes de poils d’orignal ou de caribou se trouvaient autrefois presque exclusivement sur les vêtements et les accessoires, mais elles sont aujourd’hui devenues populaires sous forme d’art encadré.
Ici, la touffe de poils d’orignal a été utilisée pour créer les feuilles vertes et les fleurs rouges qui décorent une paire de mocassins. Juste en dessous de la garniture en fourrure de castor, l’empeigne (le dessus du mocassin) a été soulignée de perles de verre rouges. Le touffetage de poils d’orignal ou de caribou est une forme d’art qui requiert un ensemble unique de compétences : chaque fleur peut prendre entre six et huit heures à réaliser.
Le touffetage de poils d’orignal de cette trousse a été réalisé par Carmen Miller, une artiste métisse qui vit en Alberta.